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manuelblais@yahoo.com
ericprudhommetenor@yahoo.ca
par courrier postal:
Et Vive l’Opéra!
25 chemin de la Bourgade
Eastman, Québec
J0E 1P0, CANADA
tel: 450 297 1160
Et maintenant les biographies:
CHRISTINE CADOUX
soprano coloratura
Née à Bourges, au centre de la France en 1968, Christine Cadoux fait ses premiers pas en musique dès l’âge de sept ans. Après des études de violon menées jusqu’au prix de fin d’étude au Conservatoire de Musique de Bourges, elle découvre le plaisir du chant, et renoncera à des études de médecine pour continuer dans cette voie. Elle rentrera dans la plus grande école de musique de France, le réputé Conservatoire Supérieur de Musique de Paris (le CNSM), pour parfaire ses études de chant, poursuivant le violon en parallèle, comme second violon parmi plusieurs orchestres, dont l’Orchestre de l’Université de Paris-Sorbonne, l’Orchestre Symphonique de Bourges, le JOSCO…
Puis elle tient ses premiers rôles de soliste comme chanteuse dans Didon et Enée de Purcell et dans des opérettes d’Offenbach .
En 1993, après deux années au Conservatoire Supérieur de Musique de Paris, elle part travailler de façon plus approfondie la technique vocale italienne, avec la soprano Françoise Delicq et le ténor Giuseppe Bellucci. Elle remporte le premier prix au Concours National D’Alès (France), puis se rend en demi-finale du Concours International de Marseilles (toujours en France).
La même année, elle est engagée pour chanter le rôle de Sophie, dans l’opéra Werther de Massenet, que monte le Grand Théâtre de Limoges, et se rend avec eux en Allemagne.
L’année suivante, en 1994, elle part s’installer au Canada, suivant son mari dans les Cantons de l’Est, magnifique région du Québec. Elle acquiert la nationalité canadienne en 1998. Une nouvelle carrière commence alors en Amérique du Nord, où elle se produit surtout en concerts, à Montréal, Québec, Eastman, Richmond, Trois-Rivières, les îles de la Madeleine. La France la demande encore, puisqu’elle y est retournée pour chanter le rôle de Nadia, dans l’opéra « La Veuve Joyeuse » de Franz Lehar en Février 1999, rôle qui lui a valu de très bonnes critiques.
Depuis 1995, Christine Cadoux produit deux à trois concerts par an dans son village d’Eastman. Elle a monté, en compagnie du baryton Manuel Blais, de Coaticook, la société « Et Vive l’Opéra! » dont le but est de ramener l’opéra au public pour lequel il fut écrit à l’origine : monsieur tout le monde. La qualité des voix et de la musique est de rigueur dans chacun des concerts, avec un prix d’entrée accessible à toutes les bourses. Mais surtout, ils prennent grand soin -et grand plaisir- à expliquer l’opéra au public. Toutes les scènes chantées, tous les airs choisis, sont d’abord expliqués de façon simple et souvent très amusante, puis interprétés avec toute l’aisance de leurs voix magnifiquement travaillées.
Christine Cadoux s’est prise aussi à inventer des histoires à deux ou trois personnages, émaillées d’airs d’opéra. Ceci permet un spectacle encore plus vivant, avec des dialogues, de la mise en scène…La vie amoureuse de Johann Strauss II en est le meilleur exemple. L’amour à l’italienne en est un autre !
Mais elle a fait la même chose avec des opéras complets. Les Noces de Figaro, la Flûte enchantée, Manon et Traviata sont ressortis de ses mains transformés pour le mieux : en ne gardant que les rôles principaux, remplaçant l’orchestre par un piano et surtout intégrant un narrateur dont elle écrit le rôle, et qui raconte l’histoire au fur et à mesure au public, Christine Cadoux a vraiment transformé l’accès à l’opéra. Plus de sur- ou sous-titre qui déconcentrent et empêchent de regarder ce qui se passe sur scène (on ne peut pas tout voir à la fois !). Par contre le spectateur a une parfaite compréhension de ce qui va se passer dans les prochaines minutes, et il peut alors se laisser complètement emporter par la musique, les voix, le jeu d’acteur et la mise en scène.
C’est du travail sans filet, car avec des décors réduits au minimum – souvent absents d’ailleurs – des accessoires restreints, les chanteurs doivent être de véritables acteurs-chanteurs pour réussir à captiver leur public. Une voix à la technique approximative, un acteur au jeu déficient n’y résisteraient pas ! Aussi c’est un grand honneur que de se faire dire par de grands connaisseurs que ses spectacles valent ceux du MET à New York ou ceux de l’opéra de Sydney en Australie ou encore ceux de Covent Garden en Angleterre !
Christine Cadoux en est à sa 22ème production pour la compagnie « Et Vive l’Opéra! ». La plus spéciale d’entre elle a été Cendrillon, une opérette dont elle a écrit tous les dialogues et pour laquelle elle a emprunté la musique à des grands maîtres de l’Opéra. Cette opérette est écrite pour 12 comédiens et chanteurs, et se base sur des musiques de Massenet, Gounod, Thomas et d’autres encore.
Le public est unanime : chaque concert est une découverte et un enchantement. « Je ne savais pas que l’opéra pouvait être si amusant et attrayant » est un commentaire courant. Mais quel plaisir de se faire dire aussi par des connaisseurs, que les spectacles de « Et Vive l’Opéra! » valent ceux des grands opéras comme le MET ou l’opéra de Sydney ! C’est d’ailleurs leur meilleure récompense car ils veulent vraiment enlever ce préjugé d’ennuyeux et réservé aux riches qui ternit la réputation de l’opéra aujourd’hui.
En dehors de la musique, Christine Cadoux a gardé un fort penchant pour les sciences, et continue à se plonger dans les mathématiques, la cosmologie, les sciences médicales de la nature, les sciences de l’antiquité … La campagne estrienne lui a permis aussi de poursuivre une autre passion : les animaux. Sa famille est à nulle autre pareille : ses enfants sont chiens, chats, perroquets, poules et canards, lamas, alpacas, vache et ânes avec lesquels elle part en randonnée, et qu’elle sait apprivoiser avec douceur, tout comme son public.
Christine Cadoux a une liste de rôles assez impressionnante :
– la Reine de la Nuit
– Pamina
– Papagena (trois rôles de la Flûte enchantée de Mozart)
– La Contesse
– Suzanna (deux rôles des Noces de Figaro de Mozart)
– Konstance (l’enlèvement au sérail de Mozart)
– La poupée (les contes d’Hoffmann de Offenbach)
– Cunéguonde (Candide de Bernstein)
– Lucia (Lucia di Lamermoore de Donizetti)
– Norine (Don Pasquale de Donizetti)
– Lakmé (Delibes)
– La Somnambule (Bellini)
– Juliette (Roméo et Juliette de Gounod)
– Manon (Massenet)
– Violetta (la Traviata de Verdi)
– Le page (le bal masqué de Verdi)
– Gilda (Rigoletto de Verdi)
– Missia Palmieri
– Nadia (deux rôles de la Veuve Joyeuse)
– Ophélie (Hamlet de Thomas)
– Sophie (Werther de Massenet)
– Cendrillon (de Christine Cadoux sur la musique des grands maîtres)
– …
Éric Prud’Homme
ténor
Éric Prud’Homme a débuté sa formation musicale à l’École de Musique de l’Outaouais, puis l’a complétée à l’École de Musique Vincent d’Indy. Il a étudié le chant à l’Université McGill, et auprès de différents maîtres de chant, notamment à Lucca et à Vérone en Italie.
On peut l’entendre dans différents récitals à Montréal et en région. Les endroits et évènements où il a chanté comprennent par exemple : le Faculty Club de l’Université McGill, le gala du Teatro Mirella & Lino Saputo de St-Léonard, les soirées de la chapelle de Terrebonne, le Vieux Clocher de Magog, le Centre d’Art Orford, le Théâtre de la Marjolaine et l’Haskell Opera du Vermont. À chaque année, il est invité à chanter les hymnes nationaux aux États-Unis et dans les provinces canadiennes. Depuis six ans, il est Cantor à « Our Lady of Annunciation » de Ville Mont-Royal.
Membre de la compagnie « Et Vive l’Opéra! », il interprète les rôles de Johann Strauss dans « La vie amoureuse de Johann Strauss », Camille dans « La Veuve Joyeuse » de F. Lehàr, Des Grieux dans « Manon » de Massenet, et Alfredo dans « La Traviata » de Verdi.
MANUEL BLAIS
Baryton
Originaire des Cantons de l’Est, Manuel est diplôme de l’école de musique Vincent d’Indy en tant que pianiste et organiste. Par la suite il poursuit ses études en chant à l’Université du Québec à Montréal.
Manuel Blais s’est produit comme soliste avec OSM (Orchestre Symphonique de Montréal), OSJM (Orchestre Symphonique des Jeunes de Montréal), I Musici, OSTR (Orchestre Symphonique de Trois-Rivières), SPM (Société Philharmonique de Montréal), OSQ (Orchestre Symphonique de Québec) and L’Ensemble Millénia.
En Israel : Lescaut dans Manon Lescaut de Puccini
Golaud dans Pelléas et Mélisande de Debussy
Lindorf, Coppelius Dapertutto et Dr Miracle dans Les Contes d’Hoffman d’Offenbach
Le Médecin malgré lui de Gounod.
En Italie : Germont dans la Traviata de Verdi
En France : Hamlet dans Hamlet d’Ambroise Thomas
Le Médecin malgré lui de Gounod.
Lindorf, Coppelius Dapertutto et Dr Miracle dans Les Contes d’Hoffman d’Offenbach
Opéra Théâtre de Rimouski :
Valentin dans Faust de Gounod,
Escamillo dans Carmen de Bizet,
Lindorf, Coppelius, Dapertutto et Dr Miracle dans Les Contes d’Hoffman d’Offenbach
Zurga dans Les Pêcheurs de Perles de Bizet avec
«Et Vive l’Opéra »
Figaro et du Conte dans Le Nozze di Figaro de Mozart, Papageno dans Die Zauberflöte,
Germont dans la Traviata de Verdi au Centre d’Art Orford
Le père dans Cendrillon au Centre d’Art Orford
Germont dans la Traviata de Verdi à l’Opéra Haskell (Stanstead)
À la Place des Arts de Montréal il incarne Siméon dans L’enfant prodigue de Debussy
et Rabastens dans Pomme d’Api de Offenbach
Prochainement 3 et 4 avril 2009
Escamillo dans Carmen de Bizet, au casino de Hull
Nous avons assisté pour la première fois à un de vos spectacle et ce avec grand plaisir.
Quel beau spectacle vous nous avez présenté.
Merci et au plaisir de vous ré-écouter lors de votre prochain spectacle, nous y serons
Carmen & Lionel